7e REPONSE A GOLDSTEIN DE NEW-YORK
Cher Monsieur
Pour ajouter à nos échanges constructifs et répondre à votre préoccupation sur la recevabilité ou l'irrecevabilité d'une plainte, si celle-ci était formulée, contre les représentants de la structure juridique des Témoins de Jéhovah pour les faits graves qu'ils ont commis durant la pandémie covid-19 contre leur coreligionnaires, voici:
VOUS ECRIVEZ EN DEBUT:
" Vous imaginez bien que cette notion de contrainte est très encadrée en droit civil et en droit pénal dans chaque pays et même en droit international. Comme je vous le disais précédemment, avant de se lancer dans une affaire, il faut peser dans la balance les chances de succès. Quelles sont les vôtres ? "
VOUS CONCLUEZ VERS LA FIN :
"DEJA VOUS PARTEZ PERDANT sur le fait qu'à l'écrit, comme rappeler précédemment, il s'agit d'un choix personnel. Ensuite, dans la liste ci-dessus QUEL EST L'ARGUMENT QUE VOUS ALLEZ METTRE EN EVIDENCE ; L'obligation ? L'exigence ? La coercition ? La menace ?
Je vous suggère de choisir lequel des arguments ci-dessus vous souhaitez faire prévaloir pour faire accepter votre dossier malgré le choix que vous aviez par l'écrit."
Voici les deux questions: Y-a-t-il eu "contrainte" de vacciner à l'ARNm dans le cas des témoins de Jéhovah depuis 2021 par le collège central? Dans quel cas, un juge, en l'occurrence, un juge français peut ou ne pas décider de la recevabilité d'une action pour contrainte?
Je vais me référer à la doctrine juridique en général et et aussi française pour tenter de répondre à vos préoccupations qui me semblent légitimes et sincères.
Evoquons brièvement la notion de contrainte en droit et je vais insister en majuscule sur les termes dont tient compte le Droit.
Dans le sens le plus large de ce mot, LA CONTRAINTE est un élément essentiel de toute définition du droit. On dit qu'il est un ordre de contrainte parce qu'il ORDONNE DES CONDUITES DANS LE CHEF DES PERSONNES SOUS LA MENACE DE SANCTIONS et l'on ajoute que CES SANCTIONS SONT EN DEFINITIVE PHYSIQUES.
On distingue ainsi LE DROIT DE LA MORALE , qui LUI AUSSI ORDONNE DES CONDUITES A TENIR, mais des conduites non sanctionnées ou dont les sanctions consistent seulement dans LE SENTIMENT DE CULPABILITE ou dans LA REPROBATION SOCIALE et non dans la privation de la vie, de la liberté ou des biens. On nuance généralement cette première définition en soulignant qu'il n'est pas nécessaire que chacune des règles soit assortie de sanction, mais que, considéré globalement, le droit n'attend son efficacité que de la contrainte.
Ainsi, les règles qui autorisent un comportement ne le font évidemment pas sous la menace d'une sanction directe, MAIS IL SUFFIT QUE DES SANCTIONS SOIENT PRESCRITES CONTRE CEUX QUI TENTERAIENT D'EMPECHER UNE CONDUITE AUTORISEE .
Pourtant, à s'en tenir à cette définition, il est impossible de percevoir la spécificité du phénomène juridique. Mais il y a nuance quand intervient la notion de "consentement libre et éclairé" prévue par le Code de Déontologie Médical par exemple.
Prenons maintenant un exemple: Un percepteur des impôts et un voleur ordonnent tous deux qu'on leur remette de l'argent et tous deux assortissent leur commandement d'une menace. Dans les deux cas, ON OBEIT PAR PEUR DE LA SANCTION. La liberté de choix est d'office effacée. La seule manière de distinguer entre les deux commandements est de considérer que, DANS LE CAS DU PERCEPTEUR, ON A UNE OBLIGATION LEGALE DE PAYER, et que, DANS CELUI DU VOLEUR, ON N'A PAS D'OBLIGATION LEGALE et qu'on est seulement FORCE ou CONTRAINT.
Ici intervient une autre notion, celle de la preuve. Comment établir la preuve qu'une contrainte a été exercée ou pas en violation du Droit ou de la liberté d'une personne?
Voyons donc ce que contient en résumé le Droit français sur la notion de la preuve recevable par le juge compétent.
Lorsqu'il s'agit de résoudre un litige devant les juridictions françaises, la question de LA RECEVABILITE DES PREUVES EST PRIMORDIALE. Seuls les éléments probants, LEGALEMENT ADMISSIBLES, POURRONT ÊTRE PRIS EN COMPTE PAR LE JUGE POUR TRANCHER LE LITIGE. Il est donc essentiel de connaître quelles preuves sont recevables en droit français.
Suivant leurs natures on en trouve 4:
1. Les preuves documentaires : CONTRATS, factures, CORRESPONDANCES ECRITES, etc.
2. Les preuves matérielles : objets, photographies, VIDEOS, etc.
3. Les témoignages de tiers : PERSONNES AYANT ASSISTE AUX FAITS LIGITIEUX.
4. Les expertises : analyses réalisées par des professionnels qualifiés.
Et voici quelques unes des preuves irrecevables:
1. Les preuves obtenues de manière illicite (par exemple violation de la vie privée).
2. Les preuves obtenues sous la contrainte ou la violence.
3. Les preuves falsifiées ou altérées.
En conclusion, pour qu'une preuve soit recevable en droit français il faudrait donc qu'elles soient:
1. licite : OBTENUE D'UNE MANIERE LEGALE.
2. pertinente : en LIEN DIRECT avec le litige.
3. sérieuse : crédible et NON EQUIVOQUE.
Quand à la notion de "l'obligation" , elle est dans une bonne partie prévue et organisée par la loi des contrats et des obligations conventionnelles du Code Civil dans chaque pays. Et nous savons qu'un contrat peut être écrit ou verbal, pourvu que la preuve en soit fournie.
Dans le cas des témoins de Jéhovah, la contrainte a été en réalité assortis d'une obligation, dans deux cas.
1er cas: Les témoins de Jéhovah travaillant dans les Béthel ou filiales.
Ceux-ci y exercent leurs activités sur base d'un contrat qu'ils signent au moment de faire leur entré dans ce milieu pour accomplir un travail ou une tâche.
Ils se retrouvent donc sous l'autorité de leur employeur dont les limites du pouvoir sont par conséquent prédéfinit dans le contrat pour éviter l'abus ou l'arbitraire. Chaque partie exécutant sa part de bonne foi et le non dit ou le non écrit, s'accompli, comme dit le droit, " en bon père de famille".
Il suffirait alors par exemple que le plaignant démontre LA PREUVE DOCUMENTAIRE: Le contrat, EN INCOMPATIBILITE AVEC LA PREUVE MATERIEL: VIDEO 'et il y en a sur le site JW.ORG , qui établissent la violation des termes par abus d'autorité ainsi que l'exercice de la contrainte exercée en violation des lois établit par exemple dans le code de déontologie médical tous ceux-ci en lien avec les souffrances et dommages physique et autres qui résultent des faits établis par médecin, par tout autre professionnel compétent ou par un expert, pour que la plainte soit dite RECEVABLE.
Ces preuves (de menaces, de coercition etc.. pour supprimer le consentement libre et éclairé) peuvent-être collecté de façon licite pour être recevable puisque chacun des usagers a le droit de le télécharger du site JW.ORG et d'en disposer, sans préjudice de violation du droit à user des données personnelles ou des droits d'auteur.
En définitive, il appartient au juge, EN TOUTE INDEPENDANCE de trancher de la recevabilité ou non d'une action en justice, malgré tous les éléments de preuve mis en œuvre et fournit par le plaignant.
Donc, ni vous ni moi, ne pouvons empiéter au pouvoir d'un juge indépendant, ni anticiper sa décision discrétionnaire aux regards des faits apportés, du droit à défendre et de déclarer "partir perdant" ou "irrecevable" une possible démarche licite et légale sur cette question sensible.
On ne peut donc pas dire que TOUT EST PERDU D'AVANCE NI QUE TOUT SOIT GAGNE D'AVANCE....C'est à la fin DU COMBAT JURIDIQUE que le jugement sera dit, si toutefois celui-ci en vient à commencer. Et il faut espérer que LE DROIT ET LA JUSTICE en sortent triomphants, et non pas l'un sans l'autre (voir notion de la réalité et du réel dans mes réponses 3 et 4).
2e cas les autres témoins de Jéhovah non membre des Béthel ou des filiales.
Dans ce second cas, il existe un contrat tacite entre les fidèles et le siège mondial. La contrainte morale par menace des sanctions peut être établit au cas par cas pour ceux dont le droit à exercer librement leur choix à l'usage d'un médicament ou à s'abstenir de le consommer a été violé.
Par exemple, des preuves documentaires ou lettres existent, dans lesquelles des "instructions" claires apparaissent sur la façon d'exclure d'activité professionnelle et de sanctionner tous ceux qui ne se courberaient pas au fait de se faire vacciner contre le covid-19.
Ce fait, transforme d'office la contrainte morale en obligation formelle assortis de sanction. Un juge indépendant, pourrait parfaitement en venir à une telle conclusion en tenant compte du contrat existant (voir article 1134 du CCF), comme étant regardé comme "la loi des parties", en matière civile.
En effet, la loi française des contrats et obligations déclare je cite l'article 1134 du Code Civil Français des Obligations, : « Les conventions légalement formées TIENNENT LIEU DE LOI A CEUX QUI LES ONT FAITES. Elles ne peuvent être révoquées que de leur consentement mutuel, ou pour les causes que la loi autorise. Elles doivent être exécutées DE BONNE FOI ».
Avec ceci, la contrainte exercée hors des termes du contrat peut donc être soit une violation de la loi des parties, soit l'absence d'exécution des termes contractuels de bonne foi par une des parties. Et de ce fait, ce qui n'était que d'ordre moral, devient de facto d'ordre public, par conséquent: recevable par un tribunal.
La capacité de choisir librement ayant été ainsi supprimé via la menace et la contrainte telles qu'expliqué dans ce contexte, le collège central des TJ ne peut plus évoquer en sa faveur contre ses coreligionnaires victimes des effets néfastes de la vaccinations ARNm :" Nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude". Non, la turpide vient du collège central, non des victimes ayant subit des pressions en tous genres pour se faire piquer.
Toutes tendances qui iraient dans le sens contraire pourrait être assimilée par le juge à une manœuvre dolosive utilisée par le collège central pour forcer, contraindre voir obliger (dans certains cas) mais sans "le dire expressément" les fidèles à poser des actes contre leurs volonté première exprimée (refus des vaccins ARNm) , donc les tromper et/ou les menacer, choses qui serait en dehors du contrat tacite et du respect de la liberté des parties, afin qu'ils consentent à se faire vacciner, sous peine de sanction.
Toutes les personnes concernées étaient en effet menacées d'être sanctionnées moralement par les dispositions contenus dans les lettres du collège central (exemples: pas d'accès aux lieux de cultes pour accomplir des tâches de maintenance, pas d'accès à des formations auxquelles ont a normalement droit, discrimination du fait du statut vaccinal etc.). C'est la coercition.
Concernant les autres moyens et les actions juridiques, il est préférable pour moi de ne pas les exposer ici pour ne pas donner à la partie adverse des éléments de défenses contre cette cause juste. Car nous ne savons pas, derrière nous, qui d'autre lira ces échanges que nous partageons de bonne foi dans un climat apaisé.
Avec l'expression de mes sentiments respectueux!
Serge ML
J'ai 47 ans. J'ai 33 ans de baptême. J'habite MALAGA (Espagne).
Lire la suite ↓
JURIDIQUE
Cher Monsieur,
Notre échange est effectivement intéressant et constructif.
Dans votre conclusion vous parlez de contrainte que vous auriez subie par votre organisation en faveur de la vaccination et qui aurait fait des victimes.
Vous imaginez bien que cette notion de contrainte est très encadrée en droit civil et en droit pénal dans chaque pays et même en droit international. Comme je vous le disais précédemment, avant de se lancer dans une affaire, il faut peser dans la balance les chances de succès.
Quelles sont les vôtres ?
Pour qu'elle soit recevable par un juge civil ou pénal en France et dans d'autres pays, la contrainte telle que vous l'entendez doit être une obligation, une exigence exercée à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes au moyen d'une pression, d'une coercition, d'une menace pour l'obliger à faire ce qu'elle ne veut pas faire.
Déjà vous partez perdant sur le fait qu'à l'écrit, comme rappeler précédemment, il s'agit d'un choix personnel. Ensuite, dans la liste ci-dessus quel est l'argument que vous allez mettre en évidence ; L'obligation ? L'exigence ? La coercition ? La menace ?
Je vous suggère de choisir lequel des arguments ci-dessus vous souhaitez faire prévaloir pour faire accepter votre dossier malgré le choix que vous aviez par l'écrit.
Tout mon respect.
J'habite New York (US).
Lire la suite ↓
6e REPONSE A GOLDSTEIN DE NEW YORK
Cher Monsieur Goldstein
Merci de comprendre mon indignation face à l'injustice manifeste dont il est question dans notre sujet principal.
J'apprécie beaucoup la pertinence de votre référence à certains éléments liés au procès de Jésus par le Sanhédrin au Ier siècle (Faisant office de Cour Suprême Juive de l'époque) et le lien de ces éléments en relation avec la crise covid-19 et sa gestion par les autorités New Yorkaises.
Vous semblez dire que Jésus s'est conformé "aux injonctions gouvernementales", notamment en s'abstenant, face à ses accusateurs et à ses juges, d'employer le nom Divin tel que révélé par le Tétragramme afin d'éviter son sort punitif ou d'échapper au châtiment, s'il avait osé l'utiliser du fait l'interdiction d'employer Le Nom.
Je crains que nous n'attribuons la faute à la mauvaise personne. Et que nous ne fassions à Jésus un procès d'intention, car nous ne pouvons pas connaître les intentions réelles qui l'animait pour dire ou s'abstenir de dire une chose face à ses accusateurs.
Dans tous les cas, les Ecritures révèles comme aucun autre écrit les détails liés au procès de Jésus ainsi que les implications de ce procès. Les historiens et les érudits eux, nous renseignent sur le contexte général de ces événements et de l'époque.
Synthèse de deux courants: Jésus a été condamné et exécuté par la coalition judéo-romaine chacun évoquant un motif différent de l'autre, mais conduisant à la même finalité: La mise à mort de Jésus.
C'est pourquoi vous noterez pourquoi Jésus, dans sa sagesse, ne s'est pas comporté d'une manière identique face aux accusateurs juifs d'un côté et face à ses accusateurs romains de l'autre. Après avoir expliqué ceci, j'en viendrait au tétragramme.
Pour appuyer mes propos regardez ce qui est écrit en Matthieu 27:11-14 je cite
:" 11 Jésus se tenait maintenant DEVANT LE GOUVERNEUR. Le gouverneur lui demanda : « Es-?tu le roi des Juifs ? » JESUS REPONDIT : « Tu le dis toi-?même. » 12 MAIS QUAND LES PRÊTRES EN CHEF ET LES ANCIENS l'accusèrent, IL NE REPONDIT RIEN. 13 Alors Pilate lui dit : « N'entends-?tu pas tout ce qu'ils disent contre toi ? » 14 Mais IL NE LUI REPONDIT PAS, NON, PAS UN MOT, CE QUI SURPRIS BEAUCOUP LE GOUVERNEUR."
Pourtant s'il l'avait voulu, Jésus aurait dit pour sa défense ce qui était juste pour prouver son innocence. IL CHOISIT DE NE PAS LE FAIRE, DE NE PAS REPONDRE en cette occasion. Il ne se pliait aux injonctions de personne, il prenait simplement ses propres décisions, Jésus exerçait parfaitement son "droit à parler" et son "droit à garder le silence". Même de nos jours le droit au silence est prévu et protégé par la loi et établit dans le droit positif.
Lorsqu'il s'est retrouvé dans les contextes que vous avez évoqué (Matthieu 26 et Marc14), il a choisit de ne pas mentionné le tétragramme. Je vais vous étonner si je vous disais que même s'il l'avait mentionné son sort ne serait pas du tout différent de ce qui lui est arrivé au final. Pourquoi donc?
Parce que la décision de capturer et de mettre à mort Jésus avait déjà été décidé longtemps à l'avance par l'élite juive de l'époque. Le procès qui a été mené contre lui "de nuit et non de jour", les "faux témoins " qui ont apporté les accusations mensongères et la corruption mis en œuvre avec 30 pièces d'argent pour qu'un de ses proches le trahisse illustre bien cette réalité.
Par exemple, en parlant de se rendre en Judée d'où il venait récemment d'échapper à la mort, et voulant y retourner cette fois pour visiter un ami malade, ses disciples; qui connaissait bien le dossier lui ont rappelé ; "Rabbi, tout récemment les Judéens cherchaient à te lapider, et de nouveau tu t'en vas là-bas?" (Jean 11:8).
Et en s'y rendant et ayant accompli là-bas un grand miracle, la résurrection de Larare, qui ne pouvait pas être nié, mis au courant de la nouvelle, Les prêtres en Chef et les pharisiens réunirent le Sanhédrin et dirent: "QUE DEVONS NOUS FAIRE, car cet homme accomplit beaucoup de miracle? SI NOUS LE LAISSONS CONTINUER AINSI, ILS AURONT TOUS FOI EN LUI et les Romains viendront et nous enlever et notre lieu et notre nation" (Jean 11:47,48, 53) et au 53 " A PARTIR DE CE JOUR-LA, ILS COMPLOTERENT DONC POUR LE TUER".
Donc, même si Jésus avait utilisé le tétragramme en face d'eux en violation de la loi juive de l'époque ou alors que Jésus se serait abstenu d'utiliser le tétragramme en cette occasion, n'aurait pas changé son sort final qui était déjà scellé, comme je l'ai démontré par les écrits sacrées. Toutes les raisons de le tuer allaient être inventé.
Si vous lisez les échanges entre lui et une partie de la classe dirigeante religieuse juive de ce temps-là en Jean 8, vous noterez la patience de Jésus tentant de les aider à comprendre la vérité sur sa véritable identité et sa mission, mais ça avait l'air d'être un dialogue des sourds. Ils ne comprenaient pas Jésus.
Et le sachant, c'est à d'autres personnes auprès de qui il a utilisé le tétragramme; ceux dont les cœurs étaient prêt à en faire bonne usage dans leurs vies. A leur sujet, Jésus dit dans une prière à son père:
JE CITE: "J'AI MANIFESTE TON NOM AUX HOMMES que tu m'as donnés du monde ; ils étaient à toi, et tu me les as donnés ; et ils ont gardé ta parole" (Jean 17:6); et aussi face au Diable, Jésus utilisa le tétragramme disant :"C'EST JEHOVAH TON DIEU QUE TU DOIS ADORER , et c'est seulement à lui que tu dois offrir un service sacré".
Avec un zoom arrière plus large, nous voyons que par Moïse, Dieu a fait connaître son nom aux hommes en écriture hébreux ancienne: le tétragramme. Mais il fallait le respecter, le tenir pour sacré mais l'employer au besoin. Normal, qui d'entre nous, simples humains aimerait voir son nom moqué ou injustement employé dans une affaire? Personne ! Le Créateur de l'Univers non plus, et à plus forte raison Lui, Le Tout-Puissant, l'Autorité Suprême dans l'univers matériel et immatériel, ne souhaiterait pas voir SON NOM REVELE, être pris sans importance et il l'a fait savoir aux hommes.
Mais ce sont les hommes au fil des siècles qui sont allés plus loin, ont même dépassé les limites par excès de zèle ou d'autres raisons, pour aller jusqu'à INTERDIRE son usage et son emploi. Et le temps a fait son œuvre, et la prononciation exacte même ce nom Glorieux a été perdu de nos jours, nous laissant uniquement les quatre lettres YHWH ou YHVH transcrites en alphabet française.
Ce qui explique les autres effets en chaîne, repris ici dans mes recherches à propos de l'usage du NOM YHWH et de ses conséquences comme vue par les penseurs juifs modernes,:
JE CITE " La profanation du nom de Dieu (hébreu ????? ???, hilloul hashem « désécration du nom ») désigne dans le judaïsme ce qui survient lorsqu'un ou des Juifs, élus par Dieu pour porter témoignage de sa providence, son enseignement et ses voies, portent atteinte à son honneur par leur comportement ou du fait de la situation dans laquelle ils se trouvent.
Antithèse de la sanctification du nom de Dieu (kiddoush hashem), le hilloul hashem est considéré dans le judaïsme rabbinique comme une faute éthique ou ontologique du plus haut degré, que le repentir lui-même ne permet pas d'effacer." ---Fin de citation---
Quand aux apôtres juifs, ils connaissaient LE NOM puisque, contrairement aux nations non-juives, depuis leur naissances et leurs éducations au Temple, ils côtoyaient la réalité autour du NOM YHWH mais pas les autres nations. D'où dans leur évangélisation à Jérusalem et autour, ils n'employait presque exclusivement que le nom qui était nouveau pour leurs compatriotes juifs, celui de Jésus (Yehoshua) annoncé jadis par YHWH comme sauveur à la ressemblance de Moïse comme il est dit ici par Dieu Lui-Même:
JE CITE: "Parmi leurs frères, je susciterai pour eux un prophète comme toi (Moïse) , je mettrai mes paroles dans sa bouche et il leur dira tout ce que je lui ordonnerai. À coup sûr, JE DEMANDERAI DES COMPTE A L'HOMME QUI N'ECOUTERA PAS LES PAROLES QU'IL DIRA EN MON NOM (YHWH)" (Deutéronome 18:18).
Dieu utilisa Moïse pour écrire ce livre de Deutéronome qui annonçait ce belle avenir pour les peuples, d'où la citation de Jésus en lien avec le Deutéronome : " En effet, SI VOUS CROYEZ MOÏSE, VOUS ME CROIRIEZ, CAR IL A ECRIT A MON SUJET " (Jean 5:46).
Cher Monsieur Goldstein, je suis d'accord avec vous que les vaccins covid-19 n'ont pas plus d'importance que le tétragramme. Ces vaccins ont été imposé aux peuples du monde, le tétragramme a été enlevé aux peuples du monde.
Ces deux situations constituent une nuisance affreuses pour les peuples de cette planète, même si ce sont des lois instituées par des hommes et qui les ont introduit dans la société.
Jésus et ceux que le suivent, se sont adaptés et s'adapteront aux lois qui ne vont violer ni leurs consciences, ni les Saintes écritures. Voilà pourquoi il a payé ses impôts, en respect de la loi fiscale de son temps (Matthieu 17:24,27), et quand il a déclaré "Rendez donc les choses de CESAR a CESAR mais les choses de DIEU à DIEU"(Matthieu 22: 17-21.) Dans ce cas précis, Jésus c'était conformé "aux injonctions gouvernementales" car aucune Loi Divine n'était violée sur cette question.
Ceci dit, moi-même et d'autres comme moi, respectons la position et la liberté des personnes qui estiment qu'elles faillent respecter les lois humaines même quand elles doivent violer celles de Dieu pour se courber à celles des hommes. Et ceci, en vertu du principe consigné en Galates 6:4,5 qui invite chacun à examiner ses propres actions devant Dieu et de conclure, je cite : "CAR CHACUN PORTERA SA PROPRE CHARGE".
Mais nous nous indignons logiquement et nous opposons quand d'autres essaient de nous contraindre à violer les principes des Saintes Ecritures ou la loi de notre conscience éduquée par ces Saintes écritures, comme l'a fait malheureusement le collège central des Témoins de Jéhovah vis-à-vis de ses fidèles durant la crise dite "pandémie du covid-19" et après cela aussi.
Tout en exprimant le plus grand respect pour votre compréhension de la question , je vous remercie pour les informations édifiantes que vous m'avez apporté au cours de nos échanges
Très respectueusement!
Serge ML
J'ai 47 ans. J'ai 33 ans de baptême. J'habite MALAGA (Espagne).
Lire la suite ↓
JURIDIQUE
Réponse à Monsieur Serge M.L de MALAGA
Cher Monsieur,
Merci de votre explication. Je comprends tout à fait votre colère.
Vous soutenez la thèse que votre organisation n'aurait jamais dû se plier aux injonctions gouvernementales. Comme vous le savez certainement dans le monde juridique nous étudions les procès. Dans le Talmud il est aussi question de celui de Jésus Christ.
Quel rapport avec les vaccins covid ? Je m'explique. Dans le Tanack (la Bible juive) le tétragramme figure des milliers de fois (plus de 7000 fois). Je ne débattrais pas ici de la prononciation du Nom mais simplement de son emploi au 1er siècle en rapport avec le pouvoir en place.
Dans son procès, Jésus Christ risquait la peine capitale, pourtant une question s'il vous plaît. Pourquoi, s'il risquait la peine de mort s'est-il abstenu de prononcer le Nom (Hachem) ? C'était pourtant l'occasion rêvée de présenter ce Nom à la face du monde romain de l'époque. A la place il a substitué des noms tel que le “Dieu vivant”, “la puissance”, (Mat 26: 63-64), “le béni” (Marc 14:61-62).
La réponse ? Il s'est plié aux injonctions gouvernementales de ne pas prononcer le Nom. Il n'a même plus employé le Nom jusqu'à sa mort ! Pourtant il ne risquait rien de plus que ce qui lui est arrivé (Sanhédrin 56a 7,5).
Et quant à ses apôtres, exclusivement des juifs, qu'en est-il ?
Sous l'autorité romaine il était interdit, sous peine de mort, d'introduire de nouvelles divinités, voir même une seule. Quand vous reprenez le discours de Paul à l'aréopage, vous constaterez qu'il va se plier aux injonctions gouvernementales et ne pas prononcer le Nom (Actes 17: 21-32).
Pour ce qui est des autres apôtres de Yehoshua, ils vont aussi se plier aux injonctions gouvernementales et ne pas prononcer le Nom. Ils ont certainement écrit le Nom en paléo-hébreu dans le texte grec pour le très peu de fois qu'ils l'ont employé de façon à cacher cet emploi risqué aux romains.
Évidemment cet emploi caché du Nom chez les judéo-chrétiens aura des conséquences catastrophiques par la suite car elle va ouvrir une porte au monde hellénistique qui ne va pas se gêner pour effacer totalement le Nom. A la place, les apôtres vont propager le nom de Yehoshua, preuve que ce dernier n'était pas déifié de leur vivant. Simon Claude Mimouni a expliqué tout cela très bien si vous souhaitez étudier cette période (je vous suggère de faire des recherches sur internet).
Je serais tenté de vous demander ; est-ce que les vaccins covid ont plus d'importance que le tétragramme ? n'avez-vous pas là de parfaits exemples d'adaptations aux injonctions gouvernementales au premier siècle ?
Vous voyez que parfois il faut creuser très en profondeur pour chercher le dessous des cartes juridiques. Je ne préjuge pas que ce que je vous explique a été le raisonnement de ce que vous appelez “le collège central”. Je n'en sais pas plus que ce que je vous ai expliqué précédemment sur les lois américaines et internationales. Peut-être ont-ils jugé que leur œuvre mondiale était primordiale et qu'en aucun cas il fallait l'arrêter.
Je dis simplement que dans le monde juif et dans le monde judéo-chrétien du 1er siècle il y a des exemples d'adaptations aux politiques publiques dans des situations pourtant extrêmement graves.
Avec tout mon respect.
J'habite New York (US).
Lire la suite ↓
5e REPONSE A MONSIEUR GOLDSTEIN DE NEW YORK
Cher Monsieur Goldstein,
Je ne pensais plus pouvoir écrire à nouveau sur ce sujet, pensant que tout était désormais claire pour tout le monde. Mais face à la gravité de vos propos, c'est le moins que je puisse dire, Dieu me met à cœur de remettre les choses à leur place en me servant, non pas de mon intelligence humaine imparfaite et limité, mais de la sagesse de SA parole la Bible. Car ce sont ces écrits inspirées qui sont utiles pour "redresser les choses" (2 Timothée 3:16).
Cette fois, permettez que je soit un peu long et vous comprendrez mieux pourquoi à la fin.
Pouvons-nous parler très franchement et être honnête entre nous? Alors je le serai, si vous me le permettez...
Vous avez parlé des pressions à New York sur les gens et les organisations qui justifieraient d'après vous que les responsables y compris ceux de la watchtower aient cédé, obéit et par crainte de menace.
JE VOUS CITE: "...PEU DE PERSONNES IMAGINENT L'EXTRAORDINAIRE PRESSION QU' IL Y A EU SUR LES GENS ET SURTOUT LES ORGANISATIONS de tous ordres dans l'État de New York et par extension dans presque tout le pays pendant la période covid..."
Mais, cher monsieur, New-York n'a pas subit plus des pressions qu'une autre grande ville dans le monde. Nous avons TOUS vécu mondialement cette expérience traumatisante, pas besoin de l'imaginer. Et que dire des villes dans les pays comme l'Espagne, l'Australie, la Belgique etc.. où la police est passé à la violence face aux citoyens qui s'opposaient courageusement à des mesures injustes....et que diriez-vous des gens confinés dans une ville comme Shanghai où nous avons tous vu des habitants hurlants de toutes leurs voix de faim, de peur et d'oppression depuis les fenêtres d'immeubles de cette mégalopole qui compte des millions d'habitants, alors que d'autres se voyaient emmenés de force pour être enfermé dans des camp d'isolement et subir des traitement dégradants? On a pas vu des telles pressions "extrêmes" sur New-York.
Mais les gens ailleurs ont résisté courageusement sans cédé et bien sûr, je dois l'admettre, quelques braves New-yorkais aussi, mais pas tous. Et les organisations? combiens d'entreprises, des restaurants et d'autres structures ont fait faillites en France, en Angleterre, en Allemagne, au Congo, au Brésil aux autres états des Etats-Unis et ailleurs dans le monde? Ces gens à la tête des ces initiatives privées ou publiques ONT TOUT PERDU...aussi des soignants fidèles à leurs serments de soigner et d'aider leurs patients se sont vu jetés dehors par les gouvernements avec des lois injustes, sans possibilité de toucher leurs salaires ni de travailler ailleurs alors qu'ils avaient des familles à nourrir et des dettes à payer...de vivre tout simplement!
En réalité, par vos propos, vous avez vous-même condamné le collège central des Témoins de Jéhovah en établissant ouvertement leur culpabilité face aux drames qu'ils ont fait porté à leurs frères dans le monde en disant aux frères de se faire injecter les produits covid dit "vaccin "avec une telle insistance, langage qui leur a été dicté en réalité par "les politiques" ET NON PAR JEHOVAH DIEU, comme ils l'ont laissé entendre aux fidèles dans leurs discours vidéos. Ils auraient donc menti aux frères? C'est très grave car le père du mensonge on le connait, c'est le diable. Et aux fruits des résultats mortifère de l'orientation prise par ce collège, on voit bien que Jéhovah n'a rien à faire là-dedans. Jésus a à nouveau dévoilé qui, DANS LE REEL, est derrière des tels malheurs quand il a dit à Simon Pierre ces paroles: " Simon, Simon écoute; Satan vous a réclamés pour vous passer au crible comme le blé. Mais j'ai supplié pour toi, pour que ta foi ne faiblisse pas..." (Luc 22:31).
Vous avez en effet admis que le collège central a cédé aux pressions de l'homme, cédé à la crainte de l'homme, qu'importe s'il s'agit du gouverneur d'une ville ou du Président d'un pays, d'un roi ou d'un dictateur tyrannique, le collège central n'avait pas à céder et à faire des compromis face à des lois manifestement injustes et illégitimes et qui plus est, violaient les principes bibliques dont j'ai déjà parlé dans mes réponses 2, 3 et 4 de nos échanges.
Ainsi ils sont tombés dans un piège tendu par Satan...car Dieu dit dans la Bible en Proverbes 29:25 : " Trembler devant les hommes est un piège, MAIS CELUI QUI A CONFIANCE EN JEHOVAH SERA PROTEGE".
Le collège central a donc bien manqué de confiance en Jéhovah dans cette affaire, à la lumière de la Bible. Pouvons-nous affirmer qu'il est mieux protégé maintenant? Il a peut-être gagné la confiance des dirigeants humains qui la félicitent pour sa servilité, mais a perdu l'estime et le respect des très nombreux bons frères et sœurs qui eux ont choisi de rester attacher à Jéhovah QUOIQU'IL EN COÛTE.
Alors que le collège central est le premier à encourager les frères de Russie, d'Erythrée, de Chine et d'ailleurs à ne pas céder face aux lois injustes de ces pays même si cela doit entraîner de se faire interdire, de voir leurs lieux de cultes confisqués, leurs emplois brisés, leurs familles arrêtées et parfois torturées, voir même subir la mort, ce collège central a fait le contraire en se couchant à la première menace (simplement d'ordre matériel) d'un simple gouverneur d'une ville. Et si la menace était dirigé, comme pour les autres frères sur leurs vies? L'attitude des membres actuels du collège central est une honte et une trahison vis-à-vis de Dieu et des frères qui eux ont accepté d'endurer les conséquences des lois tout aussi injustes que celles de New-York pendant "la pandémie".
Je n'aime pas beaucoup parler de moi, car je ne suis pas important....mais je suis d'autant plus déçu car j'ai vécu et servi Dieu enfant, sous la dictature du Maréchal Mobutu dans ce qu'était alors le Zaïre. Face à des pressions inouïs et de menaces de mort, il nous avez juste suffit de chanter l'hymne national, de saluer le drapeau ou pour les adultes d'accepter une carte de partie politique pour éviter les châtiments de toutes sortes. Mais nous ne l'avons pas fait pour la grande majorité car Jéhovah nous a aidé à rester fidèle. Le collège central, S'IL L'AVAIT VOULU IL SERAIT RESTE FIDELE EN METTANT REELLEMENT SA CONFIANCE EN JEHOVAH EN LUI OBEISSANT, DIRE NON AUX INSTRUCTIONS DE CE GOUVERNEUR QUI A CAUSE LA MORT ET LES SOUFFRANCES...FALLAIT OEIR A DIEU COMME A UN CHEF PLUTÔT QU'AUX HOMMES" (Actes 5:29), et non fallacieusement faire croire qu'il fallait suivre Romain 13. Car il est claire que ces lois violaient les principes bibliques.
Il ne fallait surtout pas faire des compromis même face aux pires des conséquences issues de la menace des gouvernants, mais eux l'ont au collège central, soi-disant, pour reprendre votre propre expression :
JE VOUS CITE "Celles-ci (ces organisations) se sont retrouvées, pour la première fois de l'histoire, entre le marteau et l'enclume ; soit d'une fermeture obligatoire avec une forte amende, soit d'aller dans le sens des politiques publiques imposées par l'État. Tout cela sous le couvert de lois d'exception comme en temps de guerre."
Avec cette phrase, qu'avons-nous encore besoin des preuves que le collège central a CHOISI LIBREMENT D'OBEIR AUX INJONCTIONS DE LA BÊTE SAUVAGE EN FAISANT UN COMPROMIS AVEC LE POLITIQUE PAR CRAINTE DE SE VOIR PUNIR DE LA MAIN DE L'HOMME, plutôt que de saisir l'occasion de démontrer sa position biblique de neutralité face aux questions de santé. Car Jéhovah, lui n'a pas changé ses normes sur cette question mais c'est le collège central qui a changé. Dieu n'a pas à se conformer aux lois de New-York ou d'ailleurs des villes de c monde pour dire à son peuple de revoir les Saintes Ecritures parce qu'une petite autorité humaine a parlé.
Voyons cela sous un autre angle. En fait, imaginons que ce gouverneur soit vraiment sérieux et met en œuvre ses menaces...même si on se voyait interdit au niveau du siège mondial en fermant les activités de ce siège et en payant des fortes amendes...Et supposons qu'on le soit véritablement....et alors? , Cela ne changerait ABSOLUMENT RIEN DU POINT DE JEHOVAH QUI EST CELUI QUI, AVEC JESUS CHRIST, DIRIGENT EN REALITE L'OEUVRE MONDIALE DEPUIS LES CIEUX, ET NON PAS LES 9 HOMMES DU SIEGE dont ils se servent de temps en temps...Qui les a convaincu que Dieu ne pouvait plus rien faire sans le collège central? Ces frères se sont-ils cru si indispensables que Le Dieu Tout-Puissant serait peut-être paralysé sans leurs concours? En Zacharie 4:6 Dieu rappel:" Tout cela ne se fera ni par des forces militaires NI PAR LA PUISSANCE DES HOMMES, MAIS PAR MON ESPRIT ? dit JEHOVAH des armées"
L'interdiction des leaders humains n'a jamais arrêté l'œuvre de Dieu au courant de l'histoire. Cette fois-ci, encore moins. Oser le penser est un aveu ABHERANT D'UN MANQUE DE FOI PRIMAIRE EN DIEU...D'ailleurs Jésus n'a-t-il pas affirmé face aux pharisiens menaçants, qui cherchaient à faire taire (interdire) ses disciples "Je vous le dis, s'ils taisaient, les pierres crieraient" (Luc 19:40).
Je dois cependant vous remercier, Mr Goldstein, pour votre honnêteté intellectuelle lorsque vous avez remis les faits à leurs place, des conséquences dont moi aussi et beaucoup n'ont cessé de décrier en écrivant :
JE VOUS CITE: "Bien entendu tout ceci a généré des crispations et des CONFLITS PRATIQUEMENT INGERABLES ET AUSSI DES DRAMES. L'article sur la vaccination en Israël que je vous ai envoyé démontre aussi cela."
C'est vrai, vous avez dit ce qui véridique. Mais vous avez aussi ajouté:
JE VOUS CITE:" Alors vous le savez certainement ; le D.ieu de juifs a toléré des morts, surtout parmi ses prophètes."
Je ne sais pas ce que vous sous-entendez par le mot "toléré".....Mais non, Dieu n'a jamais toléré ces morts injustement exécutés. Mais il a, à chaque fois fait venir les conséquences sur les exécutants et les commanditaires des tels meurtres et assassinats. C'est justement en faisant le lourd bilan de ces morts nombreux dont vous et moi on parle parmi les prophètes, que le Christ a déclaré en Luc 13:34:" Jérusalem, Jérusalem
la ville qui tue les prophètes et qui lapide ceux qui lui sont envoyés! Combien de fois j'ai voulu rassembler tes enfants comme une poule rassemble sa couvée sous ses ailes! Mais vous ne l'avez pas voulu. VOYEZ ! VOTRE MAISON VOUS EST ABANDONNEE..." Conséquence TRES GRAVE !!!
On ne peut dès lors plus affirmer qu'être responsable du décès d'un homme, d'un fidèle, même d'un seul, est sans conséquence auprès du Vrai Dieu. Caïn le frère d'Abel en savait quelque chose (Génèse 4:10,11). Ceux qui ont une dette sang paieront, QUI QU'ILS SOIENT, y compris TOUS ceux qui, collège central, surveillants de circonscriptions, anciens ou tout autre individu qui ont contribué activement à arracher le consentement de nos frères, sœurs et amis de manière à ce qu'ils se fassent injecté à l'ARNm dans le corps contre leur conscience et leur volonté première. Mais vous êtes allé plus loin en affirmant:
JE VOUS CITE: "Les injustices flagrantes n'ont pourtant pas remis en cause la véracité de l'organisation du D.ieu d'Israël. Ce n'est pas faute de désinformation de l'intérieur sur ce sujet (faites des recherches sur Google sur le mot « complot (S) juifs Bible ») et vous serez étonné des résultats."
En Luc 13:34 déjà cité plus haut, le Christ vous répond cher Mr Goldstein: IL A ABANDONNE JERUSALEM A CAUSE DE SES MEURTRES ET SON MANQUE DE REPENTENCES FACE A CES CRIMES...Oui, il s'agissait bien de l'organisation de Dieu institué depuis Moïse qui venait là d'être remis en cause par Jésus-Christ (Lui qui a le Droit Légal en Ezéchiel 21:27 qui ferait de Jérusalem infidèle "une ruine, une ruine, une ruine..."), à cause justement "des injustices flagrantes" ayant entre autre entrainés la mort des nombreux fidèles. Cela ne vous fait-il pas pensé à la crise actuelle et à la position coupable du collège central?
Sont-il plus grand que Moïse, que DIEU AVAIT CHOISI LUI-MÊME DEPUIS L'ENFANCE, à qui Dieu a parlé face à face, dont Dieu s'est servi pour ouvrir en deux la mer rouge, dirigé et instruire pendant des années son peuple etc...pourtant, quand il a commis "une injustice flagrantes" en osant faire croire que c'était lui et Aaron et non Dieu qui pourvoyait au besoin en eau du peuple, MOÏSE N'EST PAS ENTRE EN TERRE PROMISE et vous le savez...Il y a donc bien des conséquences réels punitifs pour QUICONQUE, même étant choisi comme instrument principal de Dieu devant son peuple, peu importe le temps qui passe...Car l'essentiel disait le Christ est d'endurer JUSQU'ALA FIN POUR ÊTRE SAUVE (Matthieu 24:13) Cela vaut pour nous TOUS d'ailleurs...y compris TOUS les membres du collège central actuel.
Jésus a même conclu le livre de Mathieu 24:48-50 en avertissant clairement que s'il vient trouver cet esclave en train de battre ses compagnons et de boire avec des ivrognes, cela ne resterait pas sans conséquences.
En conclusion de ceci, le Christ a déclaré de façon solennelle à TOUS sans exception : " A TOUTE PERSONNE qui entend les paroles prophétiques de ce rouleau, j'atteste ceci: SI QUELQU'UN Y AJOUTE quelque chose, DIEU LUI AJOUTERA LES FLEAUX qui sont écrits dans ce rouleau; SI QUELQU'UN ENLEVE quelque chose aux paroles de ce rouleau prophétique, DIEU LUI ENLEVERA SA PART DES ARBRES DE VIE ET DE LA VILLE SAINTE, choses dont il est question dans ce rouleau." (Révélations ou Apocalypse 22:18,19). Il n'y a pas un groupe ou un individu qui ferait ici exception...Si on pense qu'il y a un tel groupe, est-ce qu'on ne serait pas là discrètement en train d'ajouter des choses?
Pour revenir à ce bas monde des hommes...
Oui, le collège central, ses membres, aurait dû refuser d'obéir à une loi injuste. Sans craindre les conséquences, comme le font chaque jour des milliers des frères dans le monde.
Car LA DESOBEISSANCE CIVILE est un acte de courage moral et protégé par la Constitution, qui est la Loi Fondamentale dans tout Etat de Droit y compris aux États-Unis et donc ni l'état de guerre, ni l"tat de siège n'avaient été proclamé...ils ont été malin pour FAIRE CROIRE que c'était le cas.
La désobéissance civile est un acte qui souligne la légitimité de contester des lois injustes. En faisant référence à des figures plus près de votre pays aux Etats-Unis, telles que Martin Luther King et Rosa Parks, on observe que leur refus d'obéir à des lois discriminatoires a été un catalyseur pour le changement social et la reconnaissance des droits civiques dans l'Amérique Ségrégationniste. Ces actions démontrent que, dans certains cas, désobéir peut non seulement être juste, mais également nécessaire pour mettre en lumière une injustice et pousser à sa révision.
L'histoire de la désobéissance civile illustre comment le refus d'obéir à des lois injustes peut engendrer une prise de conscience collective et encourager le débat autour de la légitimité des règles imposées par l'autorité.
C'est par cet acte de courage moral que les citoyens peuvent contribuer à la réforme de lois obsolètes ou discriminatoires, renforçant ainsi les principes de justice et d'équité dans la société.
Souvenez-vous du courage d'Antigone, dans l'histoire Grecque. Qui n'a pas voulu violer la loi de sa conscience face à une loi du roi Créon qu'elle considérait injuste. L'objection de conscience existe encore de nos jours. Le collège central sait ces choses. Le Droit Naturel est en effet au-dessus du Droit Institué.
Les membres du collège central aurait pu évoqué pour défendre une position biblique que la balance entre l'obéissance à la loi et la liberté individuelle existe. L'obéissance à la loi et la liberté individuelle semblent être à deux extrémités d'un spectre, mais en réalité, elles sont intrinsèquement liées. Hobbes a souligné que sans lois, la société plongerait dans le chaos, où la loi du plus fort prévaudrait. Cependant, le respect des lois ne doit pas mener à une suppression de la liberté individuelle.
La désobéissance à des lois injustes peut parfois être un exercice de cette liberté, affirmant que L'OBEISSANCE AVEUGLE N'EST PAS TOUJOURS SYNONYME DE JUSTICE OU DE BIEN COMMUN. Le drame Nazi l'a démontré et l'histoire du covid-19 n'est pas loin d'en faire autant. "ON A FAIT QU'OBEIR AUX ORDRES" se défendaient certains Nazis au procès de Nuremberg...Ils n'ont pas moins été condamnés et exécutés.
Cette interaction soulève des questions importantes sur les limites de l'obéissance et le rôle de la conscience individuelle dans la société. Le défi est de trouver un équilibre qui permette à la fois le respect des lois nécessaires au bien-être collectif et la sauvegarde de l'espace nécessaire à la liberté personnelle et à la contestation légitime de l'injustice.
La capacité de remettre en question et, si nécessaire, de désobéir à des lois perçues comme injustes, est essentielle pour maintenir une société dynamique et juste.
Avec l'expression de me sentiments très respectueux
Serge ML
J'ai 47 ans. J'ai 33 ans de baptême. J'habite MALAGA (Espagne).
Lire la suite ↓